mardi 10 avril 2007
Pq: Une autre bataille perdue
Quand on est qu’un tiers parti à l’Assemblée nationale, on mène les batailles qu’on peut et elles ne sont pas toujours très nobles, mais cela a peu d'importance puisque tu n'en gagnes pas, ou si peu.
C’est ainsi que le Pq a mené, depuis l’humiliante défaite du 26 mars dernier, plusieurs petites batailles afin de préserver des privilèges qu’il refusait aux « indépendants » en des temps meilleurs pour lui.
La dernière en date est celle des places de stationnement! Il y a un certain nombre de places situées à quelques pas de l’Assemblée nationale, du côté de la rue des Parlementaires ainsi qu’à l’arrière de l’édifice et surtout dans la cour intérieur, qui sont dès plus convoitées.
Le Pq avait réussi à faire passer l’idée, allez savoir comment, d’une alternance dans l’attribution des places. C’est ainsi qu’on aurait retrouvé une bagnole libérale, une adéquiste et une péquiste et ainsi de suite jusqu’à épuisement des places disponibles. Or, le règlement est clair, ces places sont réservées aux députés des formations politiques formant le gouvernement et l’opposition officielle et encore, ce ne sont pas tous ces députés qui y ont accès, cela dépend de leur rang hiérarchique, s’il occupe une fonction parlementaire, etc.
Nul besoin d'épiloguer longtemps sur ce fait divers, les péquistes devront donc se contenter des places prévues au stationnement du Manège militaire ou de Place Québec.
La question cruciale qui se pose maintenant, conserveront-ils le fumoir de luxe qu’ils avaient fait installer au 3e du temps où ils formaient l’opposition officielle. Quelle belle bataille à mener pour celle qui se donne le titre imaginaire de leader de l'opposition non-officielle!
Personnellement je préfère voir revenir les stagiaires de la Fondation Jean-Charles Bonenfant qui logeait dans ce local avant sa nouvelle vocation qui place le Parlement au-dessus de la loi sur l’interdiction de fumer à moins de neuf mètres d’un édifice public…
Source : MisterP
Pq: Une autre bataille perdue
Quand on est qu’un tiers parti à l’Assemblée nationale, on mène les batailles qu’on peut et elles ne sont pas toujours très nobles, mais cela a peu d'importance puisque tu n'en gagnes pas, ou si peu.
C’est ainsi que le Pq a mené, depuis l’humiliante défaite du 26 mars dernier, plusieurs petites batailles afin de préserver des privilèges qu’il refusait aux « indépendants » en des temps meilleurs pour lui.
La dernière en date est celle des places de stationnement! Il y a un certain nombre de places situées à quelques pas de l’Assemblée nationale, du côté de la rue des Parlementaires ainsi qu’à l’arrière de l’édifice et surtout dans la cour intérieur, qui sont dès plus convoitées.
Le Pq avait réussi à faire passer l’idée, allez savoir comment, d’une alternance dans l’attribution des places. C’est ainsi qu’on aurait retrouvé une bagnole libérale, une adéquiste et une péquiste et ainsi de suite jusqu’à épuisement des places disponibles. Or, le règlement est clair, ces places sont réservées aux députés des formations politiques formant le gouvernement et l’opposition officielle et encore, ce ne sont pas tous ces députés qui y ont accès, cela dépend de leur rang hiérarchique, s’il occupe une fonction parlementaire, etc.
Nul besoin d'épiloguer longtemps sur ce fait divers, les péquistes devront donc se contenter des places prévues au stationnement du Manège militaire ou de Place Québec.
La question cruciale qui se pose maintenant, conserveront-ils le fumoir de luxe qu’ils avaient fait installer au 3e du temps où ils formaient l’opposition officielle. Quelle belle bataille à mener pour celle qui se donne le titre imaginaire de leader de l'opposition non-officielle!
Personnellement je préfère voir revenir les stagiaires de la Fondation Jean-Charles Bonenfant qui logeait dans ce local avant sa nouvelle vocation qui place le Parlement au-dessus de la loi sur l’interdiction de fumer à moins de neuf mètres d’un édifice public…
Source : MisterP
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire